Menu
Jeunesfooteux
Jeunesfooteux

Mercato au Paris FC : l'effet Arnault déclenche une ruée d'agents affamés !


Dimanche 11 Mai 2025 10:40 - écrit par



Antoine Arnault dévoile la méthode du Paris FC : filtrage Red Bull, refus des mercenaires et recrutement ciblé malgré les appels d'agents "surréalistes".

Le Paris FC prévient les requins : pas de folie

Depuis l’officialisation de la montée en Ligue 1 et l’arrivée de la famille la plus riche de France, le Paris FC reçoit des appels d’agents « toutes les trois minutes », selon les mots d’Antoine Arnault dans l'émission Téléfoot. Des propositions parfois « surréalistes », comme un attaquant brésilien ex-club de Premier League réclamant 5 M€ par an, ou un milieu défensif turc prêt à rompre son contrat pour signer… en L2 en janvier. « Certains pensent qu’on a un pactole illimité, mais on reste stratèges », tempère le patron, rappelant que le budget prévu pour le mercato d'été ne devrait pas dépasser les 30 millions d'euros.

Parmi les dossiers chauds : Lucas Stassin (ASSE), Gaëtan Perrin (AJA) et Gautier Lloris (Le Havre), trois cadres de L1 déjà identifiés comme priorités. Mais la direction résiste aux sirènes des stars vieillissantes, préférant « des perles rares à 8-10 M€ » plutôt que des « has-been à 15 M€ ».

Face à cet « embouteillage de CV », le PFC active son filtre Red Bull. Inspiré par le modèle RB Leipzig, le club privilégie les joueurs « agressifs, techniquement irréprochables et alignés sur la philosophie pressing ». Les agents reçus cette semaine devront pitcher leurs poulains devant un comité incluant Raï, ambassadeur du club, et Jürgen Klopp, consultant pour Red Bull.

« On ne veut pas de mercenaires, mais des bâtisseurs », insiste Antoine Arnault, qui mise sur l’effet de groupe plutôt que les individualités. Une stratégie payante ? A l'heure actuelle il est difficile de répondre. Mais la volonté de construire sur des bases solides avec une vraie politique sportive, ne peut qu'être gagnante. Mais attention à ne pas faire une Saint-Etienne, et croire que le delta entre la Ligue 2 et la Ligue 1 n'est pas immense.
 


Suivez-nous